Votre test pour savoir si vous avez le syndrome de l’imposteur. Le syndrome de l’imposteur est une perception déformée de ses propres compétences et réalisations. Pour vous aider à mieux vous connaître, réalisez ce test.
1. Comment réagissez-vous aux compliments sur vos compétences professionnelles ?
- A. Je me sens obligé(e) d’apprendre encore plus pour mériter le compliment.
- B. Je pense que si les gens savaient vraiment comment j’ai fait, ils ne seraient pas impressionnés.
- C. Je me demande souvent pourquoi les gens pensent que je suis doué(e).
- D. J’ai tendance à penser que j’ai juste eu de la chance.
- E. Je me sens bien, car j’ai fait tout le travail moi-même.
- F. Je suis content(e) et reconnaissant(e) pour la reconnaissance.
Si vous avez répondu A, vous vous identifiez à l’expert. Vous pourriez croire que vous devez toujours en savoir plus et que vous n’en savez jamais assez. Vous avez peut-être peur d’être exposé comme une personne qui n’a pas vraiment mérité son statut.
Si vous avez répondu B, vous vous identifiez au Superwoman/Superman. Vous travaillez dur pour couvrir vos insécurités, pensant que les autres réussissent avec facilité.
Si vous avez répondu C, vous avez tendance à croire en une intelligence innée. Pour vous, si une tâche est difficile, cela signifie que vous n’êtes tout simplement pas fait pour ça.
Si vous avez répondu D, vous vous inclinez vers le perfectionniste. Vous pourriez croire que vous êtes une fraude si tout n’est pas parfait.
Si vous avez répondu E, vous vous reconnaissez en tant que soliste. Demander de l’aide est pour vous un signe de faiblesse ou d’incompétence.
Si vous avez répondu F, il est probable que vous ne souffriez pas du syndrome de l’imposteur. Vous avez une saine reconnaissance de vos compétences et de vos réalisations.
2. Quand on vous donne une nouvelle tâche au travail, comment vous sentez-vous ?
- A. Je suis constamment en train d’apprendre pour éviter de me sentir incompétent(e).
- B. J’ai besoin de me former constamment pour éviter d’être démasqué(e).
- C. Je me décourage si je n’excelle pas immédiatement dans une nouvelle compétence.
- D. Si je ne maîtrise pas tout de suite, je pense que je ne suis pas doué(e) pour cela.
- E. J’aime apprendre par moi-même, sans l’aide des autres.
- F. J’apprécie la formation comme une occasion de grandir.
Si vous avez répondu A, vous avez l’approche de l’expert. Vous ressentez le besoin constant d’apprendre et de vous améliorer pour éviter de vous sentir inadéquat.
Si vous avez répondu B, vous vous identifiez au Superwoman/Superman. Vous sentez que vous devez toujours être au top et masquer vos insécurités à travers un apprentissage constant.
Si vous avez répondu C, vous croyez en une intelligence innée. Si vous n’êtes pas immédiatement bon dans quelque chose, vous pensez que ce n’est pas pour vous.
Si vous avez répondu D, vous avez une mentalité de perfectionniste. Vous avez tendance à être dur avec vous-même si vous ne réussissez pas dès la première tentative.
Si vous avez répondu E, vous êtes un soliste à cœur. Vous croyez en l’apprentissage autonome et pensez que demander de l’aide est un signe de faiblesse.
Si vous avez répondu F, vous avez une perspective saine sur l’apprentissage et la croissance personnelle. Vous êtes probablement exempt du syndrome de l’imposteur.
3. Comment réagissez-vous lorsque vous faites une erreur au travail ou dans la vie quotidienne ?
- A. Je pense que je ne devrais jamais faire d’erreurs si je suis vraiment compétent(e).
- B. Je crains que cette erreur révèle aux autres que je ne suis pas à la hauteur.
- C. Si je fais une erreur, cela prouve que je n’étais pas censé(e) faire ce travail en premier lieu.
- D. Je me sens extrêmement mal si tout n’est pas parfait.
- E. Je préfère travailler seul(e) pour que personne ne voie mes erreurs.
- F. Tout le monde fait des erreurs, je vais apprendre de celle-ci et avancer.
Si vous avez répondu A, vous avez une mentalité d’expert. Vous croyez que vous devez toujours savoir et que les erreurs sont inacceptables.
Si vous avez répondu B, vous vous identifiez au Superwoman/Superman. Vous craignez constamment d’être découvert et pensez que chaque erreur pourrait être la preuve que vous n’êtes pas à la hauteur.
Si vous avez répondu C, vous avez une croyance en l’intelligence innée. Une erreur pourrait signifier pour vous que vous n’avez tout simplement pas ce qu’il faut.
Si vous avez répondu D, vous vous inclinez vers le perfectionniste. Tout doit être parfait et une erreur est une énorme faiblesse pour vous.
Si vous avez répondu E, vous êtes un soliste. Vous préférez cacher vos erreurs et travailler seul pour éviter tout jugement.
Si vous avez répondu F, vous acceptez l’imperfection humaine et comprenez que les erreurs font partie de l’apprentissage. Vous ne montrez pas de signes du syndrome de l’imposteur.
4. Comment abordez-vous les défis ou les nouvelles opportunités ?
- A. Je doute de mes compétences et pense que je devrais en savoir plus avant d’accepter.
- B. J’ai peur d’accepter de nouveaux défis car ils pourraient révéler que je ne suis pas aussi compétent(e) que les gens le pensent.
- C. Si je ne me sens pas immédiatement compétent(e), je pense que ce n’est pas pour moi.
- D. Je m’inquiète de ne pas faire les choses parfaitement.
- E. Je préfère accepter des défis où je peux travailler seul(e) sans interférence.
- F. J’aime les nouveaux défis, ils sont une occasion d’apprendre et de grandir.
Si vous avez répondu A, vous avez une mentalité d’expert. Vous ressentez le besoin constant d’en savoir plus avant de vous lancer dans un nouveau défi.
Si vous avez répondu B, vous avez tendance à être une Superwoman/Superman. Vous craignez que de nouveaux défis ne révèlent vos insécurités.
Si vous avez répondu C, vous croyez en l’intelligence innée. Si un défi semble difficile dès le départ, vous pourriez penser qu’il n’est pas pour vous.
Si vous avez répondu D, vous avez une mentalité de perfectionniste. Vous avez peur d’accepter des défis de peur de ne pas être à la hauteur de vos propres normes élevées.
Si vous avez répondu E, vous êtes un soliste. Vous aimez travailler seul et sans être supervisé, car cela vous permet de contrôler la situation et d’éviter le jugement.
Si vous avez répondu F, vous avez une attitude positive envers les défis et les considérez comme une occasion de croissance. Vous n’avez probablement pas le syndrome de l’imposteur.
5. Comment réagissez-vous aux compliments sur vos réalisations ?
- A. Je pense qu’ils surestiment mes compétences ou qu’ils essaient juste d’être gentils.
- B. Je me sens comme si j’avais trompé tout le monde, même si j’ai travaillé dur.
- C. J’ai du mal à croire qu’ils parlent de moi; peut-être était-ce une tâche facile pour tout le monde.
- D. Merci, mais j’aurais pu faire mieux.
- E. Je préfère ne pas recevoir de compliments, car ils attirent l’attention sur moi.
- F. Je les remercie et accepte le compliment.
Si vous avez répondu A, vous avez une mentalité d’expert. Vous avez tendance à sous-estimer vos compétences et à penser que les autres en font trop.
Si vous avez répondu B, vous avez le comportement de Superwoman/Superman. Vous avez l’impression de tromper les autres malgré vos efforts réels.
Si vous avez répondu C, vous avez la mentalité de l’intelligence innée. Vous doutez de vos réalisations, pensant qu’elles devraient être naturelles et faciles.
Si vous avez répondu D, vous avez une mentalité de perfectionniste. Même face aux compliments, vous croyez que vous auriez pu faire mieux.
Si vous avez répondu E, vous ressemblez au soliste. Vous préférez rester dans l’ombre et éviter les éloges.
Si vous avez répondu F, vous savez apprécier vos réalisations et accepter les compliments. Vous n’avez probablement pas le syndrome de l’imposteur.
6. Comment vous sentez-vous lorsque vous réussissez dans une tâche ou un projet?
- A. Je pense que j’ai eu de la chance.
- B. Je me sens soulagé(e) que personne n’ait découvert que je n’étais pas à la hauteur.
- C. Je me demande si la tâche était trop facile, car je n’aurais pas dû réussir aussi bien.
- D. Je suis content(e), mais je me concentre déjà sur comment je pourrais faire encore mieux la prochaine fois.
- E. J’espère que personne ne me demandera comment je l’ai fait, car je préfère garder mes méthodes pour moi.
- F. Je suis fier(e) de moi et je prends un moment pour apprécier mon succès.
Si vous avez répondu A, vous avez une tendance à penser comme un expert. Vous attribuez votre succès à la chance plutôt qu’à votre compétence.
Si vous avez répondu B, vous êtes dans la mentalité de la Superwoman/Superman. Vous ressentez un soulagement éphémère, mais le doute persiste.
Si vous avez répondu C, vous avez la mentalité de l’intelligence innée. Vous doutez de vos succès et pensez que la tâche était peut-être trop facile.
Si vous avez répondu D, vous avez une mentalité de perfectionniste. Vous êtes toujours en quête d’amélioration, même après un succès.
Si vous avez répondu E, vous êtes un soliste. Vous gardez vos méthodes secrètes et préférez ne pas partager votre processus.
Si vous avez répondu F, vous savez reconnaître et célébrer vos succès. Vous n’avez probablement pas le syndrome de l’imposteur.
7. Quand vous échouez dans une tâche, comment l’expliquez-vous ?
- E. J’espère que personne ne découvre mon échec, car je veux gérer cela seul(e).
- C. C’était probablement trop difficile pour moi. Peut-être que je n’ai pas l’intelligence nécessaire.
- F. J’accepte l’échec comme une expérience d’apprentissage et je recherche des moyens de m’améliorer.
- D. Je me dis que je n’ai pas été assez minutieux(se) ou que je n’ai pas travaillé assez dur.
- A. Je pense que je manque d’expertise ou de connaissances dans ce domaine.
- B. Je sens que mon échec révèle mon imposture et que les autres le découvriront.
Si vous avez répondu A, vous avez une mentalité d’expert. Vous pensez que vous devriez toujours avoir toutes les réponses.
Si vous avez répondu B, vous avez le comportement de Superwoman/Superman. Vous voyez vos échecs comme une preuve que vous ne méritez pas votre position.
Si vous avez répondu C, vous avez la mentalité de l’intelligence innée. Vous doutez de vos capacités face à l’échec.
Si vous avez répondu D, vous avez une mentalité de perfectionniste. Vous croyez que vous auriez dû travailler plus dur ou être plus précis(e).
Si vous avez répondu E, vous êtes un soliste. Vous préférez cacher vos échecs et les gérer par vous-même.
Si vous avez répondu F, vous savez gérer l’échec de manière constructive et en tirer des leçons. Vous n’avez probablement pas le syndrome de l’imposteur.
8. Comment réagissez-vous quand on vous propose une nouvelle opportunité ou un défi professionnel ?
- F. Je suis excité(e) et prêt(e) à relever le défi.
- A. Je m’inquiète de ne pas avoir toutes les compétences nécessaires.
- B. Je crains de ne pas être à la hauteur et que les autres découvrent que je ne suis pas compétent(e).
- D. Je suis déterminé(e) à réussir, même si cela signifie travailler deux fois plus dur que tout le monde.
- C. Si c’est quelque chose que je n’ai jamais fait auparavant, je pense que ce n’est peut-être pas pour moi.
- E. Je préférerais le faire tout seul(e) sans que personne ne sache, pour éviter toute pression.
Si vous avez répondu A, vous avez une mentalité d’expert. Vous pensez que vous devez déjà tout savoir avant d’accepter un nouveau défi.
Si vous avez répondu B, vous avez le comportement de Superwoman/Superman. La peur de l’exposition est forte, et vous doutez de votre aptitude à réussir.
Si vous avez répondu C, vous avez la mentalité de l’intelligence innée. Si ce n’est pas déjà une compétence que vous avez, vous doutez de votre capacité à apprendre.
Si vous avez répondu D, vous avez une mentalité de perfectionniste. Vous êtes prêt(e) à travailler extrêmement dur pour ne pas échouer.
Si vous avez répondu E, vous êtes un soliste. Vous préférez aborder les défis seul(e), loin des regards.
Si vous avez répondu F, vous embrassez les opportunités avec enthousiasme et confiance en vos capacités d’apprentissage et d’adaptation. Vous n’avez probablement pas le syndrome de l’imposteur.
9. Comment vous sentez-vous après avoir reçu des éloges au travail ?
- D. Je me sens comme si j’avais dû travailler excessivement dur pour ces éloges.
- F. Je me sens reconnu(e) et apprécié(e) pour mon travail.
- B. Je m’inquiète que les gens découvrent que je ne mérite pas vraiment ces éloges.
- E. Je souhaite que personne n’ait remarqué pour que je puisse continuer à travailler seul(e).
- C. Je pense que si c’était quelque chose de facile pour moi, cela ne compte pas vraiment.
- A. Je me demande si j’ai vraiment l’expertise ou si j’ai simplement eu de la chance.
Si vous avez répondu A, vous avez une mentalité d’expert. Vous remettez en question la légitimité de vos accomplissements même face aux éloges.
Si vous avez répondu B, vous avez le comportement de Superwoman/Superman. Les éloges augmentent votre inquiétude d’être découvert comme un imposteur.
Si vous avez répondu C, vous avez la mentalité de l’intelligence innée. Vous dévaluez vos succès si vous ne les trouvez pas suffisamment difficiles.
Si vous avez répondu D, vous avez une mentalité de perfectionniste. Vous croyez que vous auriez dû en faire encore plus pour mériter ces éloges.
Si vous avez répondu E, vous êtes un soliste. Vous préférez rester dans l’ombre et éviter l’attention.
Si vous avez répondu F, vous acceptez les éloges avec gratitude et reconnaissance pour vos efforts. Vous n’avez probablement pas le syndrome de l’imposteur.
10. Comment réagissez-vous face à une critique constructive ?
- E. J’aurais préféré ne jamais entendre cette critique et gérer mes défauts seul(e).
- D. Cela confirme que je dois être parfait(e) et que j’ai échoué.
- F. Je l’utilise comme une opportunité d’apprentissage et de croissance.
- A. Je me demande si je manque d’expertise dans ce domaine.
- C. Je pense que je n’ai tout simplement pas les capacités pour cela.
- B. C’est un signe que je ne suis pas à ma place et que tout le monde va le découvrir.
Si vous avez répondu A, vous avez une mentalité d’expert. Les critiques vous amènent à douter de votre compétence.
Si vous avez répondu B, vous avez le comportement de Superwoman/Superman. Les critiques renforcent votre peur d’être démasqué(e).
Si vous avez répondu C, vous avez la mentalité de l’intelligence innée. Vous prenez la critique comme une preuve que vous manquez d’aptitude naturelle.
Si vous avez répondu D, vous avez une mentalité de perfectionniste. La critique est une preuve que vous n’avez pas atteint la perfection.
Si vous avez répondu E, vous êtes un soliste. Vous auriez voulu éviter cette critique en faisant tout vous-même.
Si vous avez répondu F, vous voyez la critique comme une chance de vous améliorer. Vous n’avez probablement pas le syndrome de l’imposteur.
11. Face à un nouveau défi au travail, quelle est votre première pensée ?
- A. Je ne suis pas sûr(e) d’avoir les compétences nécessaires pour cela.
- E. Si je demande de l’aide, les gens sauront que je ne suis pas à la hauteur.
- C. Si je n’arrive pas à le surmonter rapidement, c’est probablement parce que je n’en suis pas capable.
- B. Tout le monde attend de moi que je réussisse sans aucun problème.
- F. Je vais l’aborder comme une opportunité d’apprentissage.
- D. Tout doit être parfait du premier coup.
Si vous avez répondu A, vous avez une mentalité d’expert. Vous doutez souvent de vos capacités face à de nouveaux défis.
Si vous avez répondu B, vous avez le comportement de Superwoman/Superman. Vous sentez une pression pour être toujours à la hauteur des attentes.
Si vous avez répondu C, vous avez la mentalité de l’intelligence innée. Vous êtes prompt(e) à vous décourager si vous ne maîtrisez pas rapidement.
Si vous avez répondu D, vous avez une mentalité de perfectionniste. Vous ressentez le besoin de tout faire parfaitement dès le départ.
Si vous avez répondu E, vous êtes un soliste. Vous craignez d’être vu(e) comme faible si vous cherchez de l’aide.
Si vous avez répondu F, vous voyez le défi comme une opportunité et non comme une menace. Vous n’avez probablement pas le syndrome de l’imposteur.
12. Comment décririez-vous votre réussite ?
- D. Le fruit d’un travail acharné où chaque détail compte.
- B. Je dois toujours prouver ma valeur pour mériter ma place.
- F. Une combinaison de mes compétences, de mon travail acharné et parfois de la chance.
- E. Quelque chose que j’ai accompli seul(e), sans aide.
- C. Si j’ai réussi, c’est probablement parce que la tâche était facile pour moi.
- A. Je ne sais pas si je suis vraiment compétent(e) ou si j’ai juste eu de la chance.
Si vous avez répondu A, vous avez une mentalité d’expert. Vous êtes enclin(e) à attribuer votre succès à la chance plutôt qu’à la compétence.
Si vous avez répondu B, vous avez le comportement de Superwoman/Superman. Vous sentez que vous devez continuellement prouver votre valeur.
Si vous avez répondu C, vous avez la mentalité de l’intelligence innée. Vous minimisez votre succès s’il ne vous a pas semblé suffisamment difficile.
Si vous avez répondu D, vous avez une mentalité de perfectionniste. Vous pensez que le succès nécessite une attention obsessionnelle aux détails.
Si vous avez répondu E, vous êtes un soliste. Vous valorisez l’indépendance et le fait d’atteindre des objectifs sans aide.
Si vous avez répondu F, vous avez une perspective équilibrée sur la réussite. Vous n’avez probablement pas le syndrome de l’imposteur.
13. Lorsqu’on vous complimente sur un travail bien fait, comment réagissez-vous intérieurement ?
- F. Je suis reconnaissant(e) pour la reconnaissance et je sais que j’ai travaillé dur pour cela.
- D. J’aurais pu faire encore mieux si j’avais eu plus de temps ou de ressources.
- B. Ils s’attendent à ce que je fasse toujours bien, donc je ne peux pas me permettre de faillir.
- A. Ils sont probablement trop gentils ou n’ont pas remarqué les erreurs.
- C. C’était probablement une tâche facile pour commencer, donc le compliment n’est pas vraiment mérité.
- E. Je suis content(e) qu’ils n’aient pas vu toutes les fois où j’ai failli demander de l’aide.
Si vous avez répondu A, vous avez une mentalité d’expert. Vous doutez que vos réussites soient le résultat de vos compétences.
Si vous avez répondu B, vous avez le comportement de Superwoman/Superman. Vous ressentez une pression constante pour maintenir une image d’excellence.
Si vous avez répondu C, vous avez la mentalité de l’intelligence innée. Vous minimisez vos réussites en les attribuant à la facilité de la tâche.
Si vous avez répondu D, vous avez une mentalité de perfectionniste. Vous pensez toujours que vous auriez pu faire mieux.
Si vous avez répondu E, vous êtes un soliste. Vous redoutez d’être découvert(e) pour avoir envisagé de demander de l’aide.
Si vous avez répondu F, vous avez une perspective équilibrée et reconnaissez vos efforts. Vous n’avez probablement pas le syndrome de l’imposteur.
14. Lorsque vous rencontrez une difficulté dans votre travail, quelle est votre réaction typique ?
- B. Je ne peux pas montrer de faiblesse ou d’incertitude. Tout le monde compte sur moi.
- F. C’est une occasion d’apprendre et de grandir.
- D. Cela doit être parfait, peu importe le nombre d’heures que cela me prendra.
- C. Peut-être que je ne suis pas vraiment fait(e) pour cette tâche ou ce métier.
- E. Je ne demanderai pas d’aide, même si cela signifie passer des nuits blanches.
- A. Tout le monde va réaliser que je ne suis pas à la hauteur.
Si vous avez répondu A, vous avez une mentalité d’expert. Face à des obstacles, vous craignez d’être exposé(e) comme une fraude.
Si vous avez répondu B, vous avez le comportement de Superwoman/Superman. Vous ressentez le besoin de toujours apparaître fort(e) et compétent(e) aux yeux des autres.
Si vous avez répondu C, vous avez la mentalité de l’intelligence innée. L’adversité peut vous faire douter de vos capacités intrinsèques.
Si vous avez répondu D, vous avez une mentalité de perfectionniste. Vous êtes prêt(e) à investir un temps disproportionné pour atteindre la perfection.
Si vous avez répondu E, vous êtes un soliste. Vous évitez activement de demander de l’aide, même si cela peut être bénéfique.
Si vous avez répondu F, vous voyez les difficultés comme des occasions d’apprendre. Vous n’avez probablement pas le syndrome de l’imposteur.
15. Comment décririez-vous votre rapport à la réussite ?
- D. Pour moi, chaque réussite doit être plus impressionnante que la précédente.
- E. Si je ne peux pas le faire seul, alors ce n’est pas une vraie réussite.
- A. Chaque réussite m’amène plus près de la possibilité d’être découvert(e) comme un(e) imposteur.
- B. La réussite est attendue de moi, je ne peux pas décevoir les autres.
- F. La réussite est la preuve de mon dur labeur et de mon dévouement.
- C. Si je réussis quelque chose de difficile, cela signifie que ce n’était probablement pas si difficile que ça.
Si vous avez répondu A, vous avez une mentalité d’expert. Vous associez chaque réussite à une pression accrue pour maintenir l’apparence de compétence.
Si vous avez répondu B, vous avez le comportement de Superwoman/Superman. Vous sentez que chaque réussite ajoute à l’attente des autres pour vous.
Si vous avez répondu C, vous avez la mentalité de l’intelligence innée. Vous dévaluez souvent vos propres réussites, les considérant comme moins significatives.
Si vous avez répondu D, vous avez une mentalité de perfectionniste. Vous vous poussez constamment à accomplir des prouesses plus grandes.
Si vous avez répondu E, vous êtes un soliste. Pour vous, la réussite doit être atteinte de manière indépendante pour être valable.
Si vous avez répondu F, vous valorisez vos réussites en tant que témoignages de votre engagement et de votre travail acharné. Vous n’avez probablement pas le syndrome de l’imposteur.
16. Quelle est votre plus grande peur professionnelle ?
- C. Découvrir un jour que je n’ai jamais vraiment eu ce qu’il faut.
- B. Que les autres comptent sur moi pour une tâche que je ne peux pas accomplir parfaitement.
- D. Rater une seule fois, car cela signifierait que tout mon travail précédent était inutile.
- A. Que quelqu’un réalise que je n’ai pas autant de compétences que ce que je prétends avoir.
- F. Je n’ai pas vraiment de « grande peur » ; je prends les défis comme ils viennent.
- E. Que je sois forcé(e) de demander de l’aide et que les autres voient cela comme une faiblesse.
Si vous avez répondu A, vous avez une mentalité d’expert. La peur d’être exposé(e) comme un(e) imposteur vous préoccupe souvent.
Si vous avez répondu B, vous avez le comportement de Superwoman/Superman. La peur de ne pas répondre aux attentes est votre plus grand souci.
Si vous avez répondu C, vous avez la mentalité de l’intelligence innée. La peur de découvrir que vous n’avez jamais été à la hauteur vous pèse.
Si vous avez répondu D, vous avez une mentalité de perfectionniste. Une seule erreur pourrait, pour vous, effacer toutes vos réalisations précédentes.
Si vous avez répondu E, vous êtes un soliste. Vous redoutez la possibilité de demander de l’aide et d’être perçu(e) comme vulnérable.
Si vous avez répondu F, vous approchez les défis avec une mentalité positive et proactive. Vous n’avez probablement pas le syndrome de l’imposteur.
17. Comment réagissez-vous face aux critiques dans votre travail ?
- E. Je préfère travailler seul afin d’éviter d’être critiqué.
- A. Je crains que chaque critique soit la preuve que je ne suis pas vraiment qualifié.
- B. Je me sens obligé de travailler encore plus dur pour prouver que la critique était injustifiée.
- D. Je me sens complètement démoralisé si tout n’est pas parfait.
- C. Je considère que si j’étais vraiment intelligent, je n’aurais pas fait d’erreur pour commencer.
- F. Je prends la critique de manière constructive et l’utilise comme une opportunité d’apprendre et de grandir.
Si vous avez répondu A, vous avez une mentalité d’expert. La critique peut vous faire sentir comme si votre manque de compétence était enfin exposé.
Si vous avez répondu B, vous avez le comportement de Superwoman/Superman. Vous utilisez la critique comme une motivation pour redoubler d’efforts et prouver votre valeur.
Si vous avez répondu C, vous avez la mentalité de l’intelligence innée. Les erreurs et les critiques sont perçues comme un signe que vous n’avez peut-être pas l’intelligence requise.
Si vous avez répondu D, vous avez une mentalité de perfectionniste. Une simple critique peut remettre en question toutes vos réalisations.
Si vous avez répondu E, vous êtes un soliste. Vous préférez éviter la critique en travaillant de manière indépendante.
Si vous avez répondu F, vous voyez les critiques comme une opportunité de croissance. Vous n’avez probablement pas le syndrome de l’imposteur.
18. Comment percevez-vous vos accomplissements ?
- D. Ils doivent toujours surpasser ce que j’ai fait auparavant.
- C. Je pense souvent que n’importe qui aurait pu faire ce que j’ai fait.
- B. Ils sont juste un rappel de la pression que je ressens pour toujours performer au top.
- E. Je les valorise davantage s’ils sont accomplis sans l’aide de personne.
- A. Je crains souvent qu’ils ne soient pas aussi impressionnants que les gens le pensent.
- F. Je les célèbre comme des témoignages de mon dur labeur et de mon engagement.
Si vous avez répondu A, vous avez une mentalité d’expert. Vous pouvez minimiser vos accomplissements, pensant qu’ils ne sont pas aussi impressionnants qu’ils le paraissent.
Si vous avez répondu B, vous avez le comportement de Superwoman/Superman. Vous ressentez constamment la pression de maintenir un niveau élevé de performance.
Si vous avez répondu C, vous avez la mentalité de l’intelligence innée. Vous pouvez dévaluer vos accomplissements en pensant qu’ils n’étaient pas si difficiles ou que d’autres auraient pu les réaliser.
Si vous avez répondu D, vous avez une mentalité de perfectionniste. Vous ressentez le besoin constant de surpasser vos précédents accomplissements.
Si vous avez répondu E, vous êtes un soliste. Vous accordez plus de valeur à ce que vous réalisez de manière indépendante.
Si vous avez répondu F, vous embrassez vos accomplissements avec gratitude et fierté. Vous n’avez probablement pas le syndrome de l’imposteur.
19. Quelle est votre réaction lorsque quelqu’un vous complimente sur vos compétences ou vos réalisations ?
- C. Je me demande souvent s’ils sont vraiment sincères ou s’ils essaient simplement d’être gentils.
- D. J’analyse le compliment pour voir s’il y a des imperfections dans ce que j’ai fait.
- E. Je me sens mal à l’aise si j’ai reçu de l’aide ou des conseils de quelqu’un d’autre.
- B. Je remercie poliment, mais à l’intérieur, je ressens la pression de continuer à exceller pour mériter ces compliments.
- A. Je me sens comme un fraudeur, pensant qu’ils vont bientôt découvrir que je ne suis pas aussi compétent qu’ils le pensent.
- F. Je remercie sincèrement la personne pour son compliment et je ressens de la gratitude.
Si vous avez répondu A, vous avez une mentalité d’expert. Les compliments peuvent intensifier le sentiment que vous n’êtes pas vraiment à la hauteur.
Si vous avez répondu B, vous avez le comportement de Superwoman/Superman. Chaque compliment augmente la pression que vous ressentez pour maintenir vos performances.
Si vous avez répondu C, vous avez la mentalité de l’intelligence innée. Vous doutez de la sincérité des autres lorsqu’ils vous complimentent.
Si vous avez répondu D, vous avez une mentalité de perfectionniste. Vous cherchez constamment des imperfections, même lorsque vous recevez des éloges.
Si vous avez répondu E, vous êtes un soliste. Les compliments peuvent vous mettre mal à l’aise si vous avez bénéficié de l’aide ou du soutien d’autres personnes.
Si vous avez répondu F, vous accueillez les compliments avec humilité et gratitude. Vous n’avez probablement pas le syndrome de l’imposteur.
20. Comment gérez-vous les défis ou les obstacles dans votre travail ou vos études ?
- B. Je mets tout en œuvre pour surpasser cet obstacle, souvent au détriment de ma santé ou de ma vie personnelle.
- A. Je m’inquiète constamment que les autres découvrent que je ne suis pas vraiment qualifié si je ne peux pas surmonter ce défi.
- D. L’obstacle doit être surmonté parfaitement, sinon tout mon travail semble invalide.
- E. Je préfère affronter ces défis tout seul, même si cela prend plus de temps ou d’efforts.
- C. Si je ne peux pas surmonter l’obstacle facilement, je pense que peut-être je ne suis pas vraiment fait pour cette tâche ou ce domaine.
- F. Je vois les défis comme des opportunités d’apprentissage et je cherche des ressources ou des aides pour les surmonter.
Si vous avez répondu A, vous avez une mentalité d’expert. Chaque défi est une autre chance que les autres découvrent que vous ne méritez pas votre position ou vos réussites.
Si vous avez répondu B, vous avez le comportement de Superwoman/Superman. Vous mettez une pression intense sur vous-même pour surmonter chaque obstacle, souvent au détriment de votre bien-être.
Si vous avez répondu C, vous avez la mentalité de l’intelligence innée. Un obstacle peut vous faire remettre en question votre aptitude ou votre intelligence.
Si vous avez répondu D, vous avez une mentalité de perfectionniste. Tout obstacle doit être traité parfaitement sinon il dévalue tout votre travail.
Si vous avez répondu E, vous êtes un soliste. Vous vous sentez mieux en surmontant des défis de manière indépendante, sans l’aide des autres.
Si vous avez répondu F, vous voyez les défis comme une chance de croître et d’apprendre. Vous n’avez probablement pas le syndrome de l’imposteur.
Conclusion
Le syndrome de l’imposteur peut se manifester de différentes manières, et il faut reconnaître ces comportements pour pouvoir y faire face. Si vous vous êtes reconnu dans plusieurs des situations décrites ci-dessus, vous n’êtes pas seul. Beaucoup de gens, même ceux qui sont extrêmement compétents et réussis, peuvent parfois ressentir qu’ils ne sont pas à la hauteur. L’important est de comprendre que ces sentiments ne reflètent pas nécessairement la réalité.
Si vous pensez être affecté par le syndrome de l’imposteur, il peut être utile de parler de vos sentiments à un mentor, un collègue de confiance ou un professionnel de la santé mentale. Ils peuvent vous fournir des perspectives, des ressources et des stratégies pour surmonter ces doutes persistants sur vous-même. Rappelez-vous que vous méritez vos succès et vos réalisations autant que n’importe qui d’autre.
Ne laissez pas le syndrome de l’imposteur vous empêcher de poursuivre vos rêves et d’atteindre vos objectifs. Vous avez le pouvoir de reconnaître ces pensées et de les dépasser.